Le projet de mise en place d’une taxe kilométrique verra le jour dans les prochaines années pour le territoire bruxellois. Le calcul de cette fameuse taxe sera défini sur base de l’heure de circulation et du type de véhicule utilisé. La surveillance sera assurée par les caméras dédiées aux zones de basses émissions.
« Pour l’instant, on paie une taxe fixe par an, peu importe si on utilise beaucoup ou peu sa voiture. On veut modifier cela pour avoir une taxe liée à l’usage du véhicule. Si vous roulez dans les heures de pointe avec telle ou telle voiture, ce sera telle ou telle taxe au lieu d’une taxe annuelle fixe », explique la ministre dans les colonnes de Le Soir.
La région reverra donc son système de calcul de taxe de circulation, de façon à faire payer les bruxellois en fonction de leur usage d’un véhicule. De ce fait, si aucun accord n’est trouvé avec les autres régions, wallons et flamands devront s’acquitter de cette taxe kilométrique, en plus de leur taxe de circulation régionale.
« Si la Flandre et la Wallonie ne bougent pas et ne participent pas au système, cela aura cet impact. C’est pour ça qu’on préfère avoir un accord avec elles sur un modèle. »
Affaire à suivre !