Land Rover vient de renouveler son Defender, qui profite d’un design entièrement repensé et d’une grosse montée en gamme en matière de finition et de technologie embarquée.
Malgré son embourgeoisement, Land Rover assure que ce nouvel opus a été totalement étudié pour le franchissement et le off-road. L’aspect dépouillé du Defender original se retrouve dans le nouveau modèle. Des éléments structurels et des fixations, d’habitude masqués, sont ici apparents, pour mettre l’accent sur la simplicité et la praticité. Des caractéristiques innovantes s’y mêlent, comme le levier de vitesses monté sur le tableau de bord, qui permet d’ajouter en option un siège central avant rétractable, afin d’asseoir trois personnes de front comme sur les premiers Land Rover.
Pour le Defender 110 (5 portes), plusieurs configurations d’assises sont proposées : cinq, six ou 5+2 places. Un espace de chargement derrière la deuxième rangée de sièges permet de cuber 1075 litres, voire 2380 litres, en rabattant la banquette. La version 90 (3 portes) pourra quant à elle accueillir six occupants. Le SUV embarque le dernier système multimédia Pivi Pro du groupe Jaguar Land Rover. Son écran tactile fait la liaison avec un système entièrement connecté.
Le nouveau Defender repose sur l’architecture D7x, axée sur une constitution monocoque légère en aluminium. Il s’agit ainsi de la structure la plus rigide créée par le constructeur. Elle est trois fois plus rigide qu’une carrosserie sur châssis séparé et sert de base idéale pour les suspensions 100% indépendantes, qu’elles soient pneumatiques ou à ressorts, ainsi que pour les toutes nouvelles motorisations électrifiées.
Pour son lancement, la gamme essence s’articulera autour d’un moteur à quatre cylindres et d’un six cylindres hybride. Deux motorisations diesel à quatre cylindres seront également au programme.