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Essai : MINI COOPER SD

Rédigé par Quentin Cornélis18 janvier 20157 minutes de lecture
Quand David devient Goliath !

Depuis le rachat de Mini par BMW en 1994, soit 20 ans plus tard, il s’en est coulé de l’encre. Tout d’abord en 2001, lors du lancement de la 1ere génération de la Mini moderne, la R50. A l’époque, on l’avait critiquée pour sa taille qui n’avait plus rien de très… Mini. Force est de constater que ce premier opus était une réelle réussite commerciale, surtout dans les quartiers huppés du brabant wallon (Non non, nous ne sommes pas adeptes de clichés chez Actu-moteurs) Cette réussite sera confirmée par l’arrivée de la seconde génération en 2006. Viendront ensuite les Clubman, Countryman, Roadster, Coupé et plus récemment la Paceman. Autant de déclinaisons qui prouvent que Mini cherche à élargir son offre et à attirer le plus large panel de client au risque de choquer les puristes… Puristes qui risquent fort de voir d’un mauvais œil notre Mini du jour, la tout nouvelle Cooper SD. Et oui, comme pour la précédente version, la Mini à droit à sa version sportive diesel.

Lancée dans le courant 2014, la nouvelle Mini promet une meilleure finition, des moteurs encore plus sobres et dynamiques ainsi qu’un meilleur confort avec toujours ce comportement de kart qui la rend si attachante. Trêve de bavardages, en route pour Bornem ! Sur place on me parle d’une Mini grise… Quelle idée ! Il n’y a rien de plus fun comme couleur ? J’imagine déjà la bestiole dans sa livrée fade au reflet d’un ciel guère plus enjoué. Bon on fera avec, ce qui compte au final c’est le plaisir que nous prendrons au volant.

« Be Mini »

Clé en main et prêt pour l’essai. La voiture est en effet grise mais pas exactement comme je l’imaginais. Cette peinture tire d’avantage sur le blanc avec des reflets vraiment rayonnants. Le mariage avec les deux bandes noires sur le capot, les jantes, les coquilles de rétroviseurs et le toit noir lui donnent un cachet certain.

A l’extérieur, rien ou peu de choses la différencient d’une Cooper S. On retrouve la calandre badgée du S comme pour la version essence, le même capot avec son entrée d’air factice, la même double sortie centrale à l’arrière et le superbe becquet renforçant l’aspect sportif de notre anglaise.

Il est temps de prendre place à l’intérieur. Première impression à bord, on nage complètement dans l’esprit chic et fun avec l’éclairage d’ambiance pouvant varier du jaune au bleu en passant par le mauve, le vert et bien d’autres couleurs. Ajoutez à cela, du chrome et des touches clinquantes par ci et par là, un cuir gris perle/blanc vous rappelant la mauvaise qualité de votre jeans (et de celui de vos prédécesseurs) et vous retrouverez toute l’ambiance typique d’une Mini, il est vrai, à coups de nombreuses options pour notre modèle d’essai.
Le grand écran central qui ne reprend plus le rôle de compteur devient l’écran multimédia avec joystick tactile à la façon des dernières BMW. On notera aussi la présence d’un GPS haute résolution, d’une reconnaissance vocale, de la camera de recul et du toit ouvrant panoramique. L’aspect sécurité n’est pas en reste avec le détecteur de collisions et de piétons, l’affichage tête haute, la lecture des panneaux de signalisation et le régulateur de vitesse adaptatif
Un Mini c’est donc tout une ambiance et tout habitué y retrouvera très vite ses repères hormis pour les commandes de vitres – et c’est tant mieux – qui migrent sur les portières.
Question habitabilité la nouvelle Mini offre toute la place et le confort nécessaire pour le conducteur et son passager. On ne peut malheureusement pas en dire autant des places arrière. C’est vrai, Mini a consenti à améliorer le confort de celles-ci et l’assise devient déjà un peu plus confortable mais ça ne sera pas encore suffisant surtout pour les grands gabarits et sur longs trajets. Le coffre quand à lui n’a toujours rien d’extraordinaire passant de 211 litres à 731 litres une fois les deux dossiers rabattus. Une Peugeot 208 pourtant plus petite propose un coffre allant de 285 à 1076 litres.

Mieux qu’un kart!

Il est temps de prendre la route et de découvrir cette nouvelle Mini. Moteur en marche, on ne peut que regretter le son du 4 cylindres diesel qui avouons le, n’a rien de très sportif. En reprise on entend bien le souffle des turbos mais pas de quoi se faire redresser les poils. De la reprise par contre elle en a cette petite ! Avec ses 360 Nm de couple on peut dire qu’elle à de quoi satisfaire surtout sur petite route sinueuse mais inutile d’aller chercher les canassons trop loin car au delà des 5000 tr/min vous retrouverez tout au plus quelques rares petits poneys en plus.

Le châssis quand à lui est formidable. Il faut dire qu’entre la plateforme UKL1 plus rigide et les trains soignés (McPherson avec palier d’articulation en aluminium et effet antiplongée à l’avant et essieu multibras à l’arrière), ainsi que l’aide de tout une foule électronique impressionnante (contrôle dynamique de la stabilité DSC avec contrôle de motricité dynamique DTC et différentiel électronique piloté EDLC), Mini n’a pas lésiné sur le package châssis. On retrouve ce caractère typique avec les 4 roues aux extrémités mais ne parlons plus d’un comportement de kart. La voiture ne sautille pas sur la moindre brindille comme pouvait le faire son aïeule. Au contraire, la suspension est plus souple que l’ancien modèle mais garde sa tenue de route précise et directe en supportant sans broncher les changements d’appuis. Cette Mini devient donc plus utilisable sur la route que jamais ! Bien sur, on est loin du confort moelleux des françaises mais ce n’est pas non plus le but recherché de cette voiture.

Lors de notre essai, le consommation était d’environ 7,1 litres au 100 ce qui peut paraître énorme comparé au gabarit de la voiture mais avouons-le, cette moyenne ne reflète pas une utilisation normale étant donné que nous ne nous sommes pas privé d’utiliser tout le potentiel de la voiture. Cependant, rassurez-vous car passant la molète située au bas du levier de vitesse sur la position Green pour anesthésier le moteur, et roulant sur autoroute, il est bien possible de descendre en dessous des 6 litres.

Oh, la belle rencontre !

Lors de notre essai, nous sommes passés par Hoeilaart où est installé depuis de nombreuses années Paul Soret. Cet amoureux des anglaises est spécialisé dans l’entretien, la restauration et la vente d’Oldtimers d’outre-Manche. Les nombreuses Jaguar, Triumph, Aston_martin ou encore MG aperçues sur place peuvent attester de la confiance et de l’estime que lui font ses clients. A n’en pas douter une adresse à recommander.

C’est alors qu’au milieu de tous ces roadster et coupés anglais j’aperçois une silhouette bien connue… En effet, le fils de Paul, Geert avoue une passion dévorante pour les anciennes Mini et c’est avec plaisir qu’il nous propose d’immortaliser ce moment en compagnie de la nouvelle venue.

Deux générations cote à cote, séparées par une quarantaine d’années. La différence de taille est impressionnante. Cette nouvelle Mini a vraiment pris énormément d’embonpoint part rapport à son ancêtre montée sur ses petites roues de dix pouces.

Toujours pas donnée…

Notre voiture du jour équipée du pack Chili affichait un prix plutôt salé.
Avec une adition à 38.370 € TVAC, certaines options tel que le Park Assist ou l’EDC auraient pu faire partie de l’équipement de série de la Cooper SD.
Comme toujours chez Mini, il sera possible de personnaliser votre voiture avec par exemple l’ajout d’un spoiler de coffre (157,02 €), des bandes sur le capot (95,04 €) ou encore un toit ouvrant panoramique ( 760,33€)

Et si…

… cette Cooper SD pouvait s’accompagner d’une sonorité plus envoutante? Ce serait sans doute le choix idéal pour tous ceux qui ne veulent pas faire de compromis en alliant plaisir de conduite et économie.

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Quentin Cornélis

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