Mercedes n’avait jamais aussi mal démarré la saison depuis l’introduction des groupes propulseurs en 2014. Pourtant, Wolff assure n’y voir que des avantages pour le championnat et la motivation de chaque membre de son team.
« Cette saison 2018 de Formule 1 semble célébrer tout ce qui nous fait aimer la cours. », a-t-il déclaré. « Trois équipes se battent pour la victoire et nous avons vécu des Grands Prix indécis avec des dépassements spectaculaires. Ce sont les F1 les plus rapides de l’histoire, pilotées par les meilleurs champions que le sport ait engendré. »
« Jusqu’à présent, tous les ingrédients sont réunis pour vivre un championnat légendaire, dont on parlera avec le sourire dans les années à venir. », a surenchéri l’Autrichien. « Il n’y a pas que les fans qui sont enthousiastes : nous-mêmes, acteurs de la F1, ressentons la même excitation. Nous savons chez Mercedes que le challenge est énorme et on va se battre, c’est ce qui nous passionne dans ce métier. »
Alors verra-t-on un pilote Mercedes sur la plus haute marche du podium ce week-end à Bakou ? Rien n’est moins sûr! Le manager autrichien s’attend à un week-end disputé.
« C’est un circuit exigeant, sur lequel les pilotes ont besoin d’être en confiance dans la voiture pour trouver le bon rythme, et ils sont impatients de prendre la piste le vendredi matin. La course de l’an dernier a vu un podium totalement inattendu, ce qui est normal sur les circuits urbains, et nous pouvons encore attendre l’inattendu. »
Les pilotes se rendent en Azerbaïdjan avec deux mois d’avance par rapport à la saison dernière et feront donc face à un circuit urbain qu’ils ne connaissent pas dans ces conditions climatiques. Cela promet du spectacle !