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Essai : Opel Adam Rocks S

Rédigé par Emmanuel van den Brûle12 février 20165 minutes de lecture
Dans le domaine des citadines branchées personnalisables, on ne compte pas énormément de candidats. Mais quand on ajoute le facteur « sport », la liste se trouve de plus en plus réduite. Voici l’Opel Adam Rocks S, baroudeuse express des villes !

Dans nos rangs sont passées l’essentiel des petites sportives actuelles, mais il en restait une qui nous faisait envie : l’Opel Adam. Sa version sportive, dénommée S, se contentait de gonfler le moteur, raffermir les suspensions, renforcer les freins. En même temps, sur une citadine à la bouille sympa et au gabarit réduit, que peut-on vouloir de plus ? Mais aujourd’hui, parlons de sa cousine, l’Adam Rocks S. Avec son look forestier, qui, en plus de se parer de gardes-boue en plastique, offre des sensations sauvages les cheveux au vent !

Esthétiquement, l’Adam Rocks S se différencie de sa cousine Adam par l’addition de gardes-boue en plastique noir, d’un bouclier un poil plus agressif également en plastique et surtout d’un toit ouvrant en toile souple. Comme dans les vieilles Polo Open Air. Il ne s’agit donc pas à proprement parler d’un cabriolet, mais les grands gabarits rouleront tout de même la tête à l’air libre… On y revient un peu plus tard. La couleur de notre modèle d’essai, un blanc un peu cassé intitulé White my Fire (on vous renvoie au catalogue de couleurs d’Opel pour le reste des jeux de mots) assorti de rouge sur le toit et de noir sur les bas de caisse, n’est pas du meilleur goût. Heureusement, la peinture reste au choix.

À l’intérieur, l’ambiance est excentrique. Si on fait exception des sièges baquets Recaro ainsi que des quelques touches de rouge (très rares) sur la planche de bord, on pourrait même la qualifier de classique ou même triste. Dans le registre du négatif, on notera également la position de l’écran multimédia Intellilink, trop basse pour être vraiment à vue. Il faudra franchement quitter la route pour se concentrer dessus, et il ne renferme toujours pas de GPS intégré. Pour le guidage, une application payante sur smartphone est toujours obligatoire. Cependant, c’est toujours mieux que l’Abarth 500, qui ne dispose toujours pas à ce jour d’un écran digne de ce nom, et l’Opel Adam Rocks S devrait s’améliorer dans le courant de l’année avec l’arrivée des systèmes connectés Apple CarPlay et Android Auto.

Si vous avez des enfants, malheureusement, il vous sera préférable de les garder en très bas âge, car au-delà de 5 ans, la place aux jambes des sièges arrières ne sera plus suffisante. Sur ce point, la 500 garde l’avantage, au même titre que pour le volume de coffre. 170 litres, ça paraît déjà petit comme ça, mais c’est encore plus petit en vrai. De plus, le seuil de chargement est très haut, et la forme de la malle bloquera de suite les objets un peu encombrants.

Mais on ne l’essaie pas pour ça, cette Adam ! Premier contact avec le démarreur, et le 4 cylindres se réveille dans un vrombissement sourd, mais très agréable à l’oreille. Le temps de quitter le parking, et voilà que son charme a déjà opéré… On s’insert dans la circulation, passe la deuxième vitesse, et écrase la pédale de droite : vroooap ! Si le 4 pattes qui se cache sous le capot n’est pas des plus mélodieux, il se fera entendre dans un bruit sourd et écartera les manants. Et en plus, il dispose d’un potentiel de « collage de slip au fond du baquet » assez élevé pour ce gabarit.

À l’intérieur, l’ambiance est excentrique. Si on fait exception des sièges baquets Recaro ainsi que des quelques touches de rouge (très rares) sur la planche de bord, on pourrait même la qualifier de classique ou même triste. Dans le registre du négatif, on notera également la position de l’écran multimédia Intellilink, trop basse pour être vraiment à vue. Il faudra franchement quitter la route pour se concentrer dessus, et il ne renferme toujours pas de GPS intégré. Pour le guidage, une application payante sur smartphone est toujours obligatoire. Cependant, c’est toujours mieux que l’Abarth 500, qui ne dispose toujours pas à ce jour d’un écran digne de ce nom, et l’Opel Adam Rocks S devrait s’améliorer dans le courant de l’année avec l’arrivée des systèmes connectés Apple CarPlay et Android Auto.

Si vous avez des enfants, malheureusement, il vous sera préférable de les garder en très bas âge, car au-delà de 5 ans, la place aux jambes des sièges arrières ne sera plus suffisante. Sur ce point, la 500 garde l’avantage, au même titre que pour le volume de coffre. 170 litres, ça paraît déjà petit comme ça, mais c’est encore plus petit en vrai. De plus, le seuil de chargement est très haut, et la forme de la malle bloquera de suite les objets un peu encombrants.

Mais on ne l’essaie pas pour ça, cette Adam ! Premier contact avec le démarreur, et le 4 cylindres se réveille dans un vrombissement sourd, mais très agréable à l’oreille. Le temps de quitter le parking, et voilà que son charme a déjà opéré… On s’insert dans la circulation, passe la deuxième vitesse, et écrase la pédale de droite : vroooap ! Si le 4 pattes qui se cache sous le capot n’est pas des plus mélodieux, il se fera entendre dans un bruit sourd et écartera les manants. Et en plus, il dispose d’un potentiel de « collage de slip au fond du baquet » assez élevé pour ce gabarit.

Et si…

…l’Opel Adam Rocks S, avec son look sympa et son caractère attachant, représentait une alternative viable aux Abarth 500 qui pullulent dans nos régions ? On y croit, mais il manque alors une connaissance plus grande de ce nouveau modèle face aux classiques néo-rétro.

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Emmanuel van den Brûle

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