“On en est arrivé à la conclusion que l’organisation en place ne fonctionnait pas ou mal et que ce n’était pas rendre service à l’équipe de continuer comme cela” (Frédéric Vasseur)
Et l’ex-homme fort de ART Grand Prix de poursuivre : “On a discuté le mois de décembre, et tout cela pour arriver à la conclusion qu’il valait mieux s’arrêter. La F1 est exigeante. On a besoin, surtout dans le cadre de Renault où l’on était plus dans la reconstruction d’une équipe que dans un trait continu, d’avoir un seul leader.”
Quand le journaliste de la télévision cryptée française lui demande si les tensions avec Cyril Abiteboul sont à la base de cette séparation, Frédéric Vasseur – en bon communicateur qu’il est – a confirmé qu’il y avait clairement des divergences d’opinions avec ses collègues du management de l’écurie française, s’en sortant par une pirouette verbale qui ne laisse guère de place au doute : “Les grosses équipes se sont construites comme cela par le passé. On a besoin d’avoir un leader fort qui montre une direction.”
Une déclaration qui trouve sa confirmation dans le fait qu’il ne sera pas remplacé au sein de l’organigramme d’Enstone.