Le Néerlandais se souvient de ses débuts compliqués Outre-Atlantique en 2014 pour ce qui était son deuxième Grand Prix et il avait découvert le tracé sous la pluie, sortant même de la piste. technique, le tracé d’Austin n’est déjà pas simple à appréhender, le découvrir sur une piste détrempée n’avait certes pas aidé.
Des conditions humides qui avaient cependant davantage souri à Verstappen l’année suivante : “En 2015, j’avais terminé quatrième dans des conditions très mouillées. Il y avait tellement d’eau, mais j’ai tout de même pris du plaisir durant cette course car j’aime rouler sous la pluie. Même lorsque la trajectoire a commencé à sécher, cela a rendu les derniers tours plus intéressant encore.”
Et le Batave de revenir sur le tracé en lui-même : “Le COTA reprend des éléments d’autres circuit du calendrier de la F1, comme Silverstone par exemple, mais il possède également ses propres spécificités assez uniques. Il est plus court et plus rapide que les autres circuits présentant des caractéristiques similaires. Le premier virage est vraiment cool. Tu peux freiner très tard quand tu arrives en haut de la colline, mais alors parvenir à prendre la corde est compliqué car tu arrives totalement en aveugle. Cela prend quelques tours pour trouver tes repères et savoir où tu dois tourner.”
Son équipier Australien, toujours bon vivant, n’oublie pas de mettre l’accent sur les charmes de la ville d’Austin autant que sur le circuit dont il apprécie les spécificités, comme les cordes larges, la largeur de la piste qui offre diverses trajectoires possibles, la rapidité et la fluidité des virages et le fait que c’est certainement l’un des circuits qui offre les meilleures opportunités de dépassements de toute la saison.
Sur Austin, le souriant Daniel confie : “Il y a tellement de choses à voir en ville, comme le Pete’s Piano Bar mais également d’autres endroits typiques qui proposent de la musique live et une restauration qui me parle. Il y a tellement à faire et tout est sympa.”